Dit
toi que " tu es la seule et unique personne capable de prendre soin de
toi de t'occuper de toi TOUTE ta vie".
Le fait de plagié la réflexion
philosophique d'un érudit ne peux en aucun cas amener à en devenir
propriétaire, dieu n'est pas ton marionnettiste et n'a jamais souhaité
de dogmes, seule l'homme a utilisé sa sagesse pour assouvir sa soif de
pouvoir, de domination, de supériorité.
Jésus-Christ, un soir c'est
retourné vers ses apôtres qui étaient excités à l'idée de faire de
Jésus-Christ le roi des rois, siégeant sur un trône en or, il leur dit : "mais vous n'avez donc rien compris à ce que je vous ai enseigné",
Jésus-Christ, Mahomet ne sont que des hommes érudits qui on croisés le
chemin de la philosophie asiatique et indienne, ensuite les occidentaux
et les Arabes les ont divinisés.
"comment un enfant de dieu peut il demander
aux enfants de dieu de tuer d'autres enfants de dieu au nom de dieu ?"
samedi 28 janvier 2017
Bordel!
Lorsqu'on vient au monde, innocent et parfait, nous ne sommes pas encore sensible a la moindre culpabilité,, puisque nous ne savons même pas interpréter les jugements et critiques, c'est ensuite que cela arrive, le monde entier à un fonctionnement basé sur la culpabilité, consciemment et inconsciemment, a notre propre insu, voila la seule est unique raison du gros "bordel" qu'est l'humain !
Je considère l'acceptation au même titre que la patience, comme vertueuse, cela implique une augmentation, une acuité au fil des années, celle ci est d'abord difficile et perçu comme négative par manque de connaissance de soi, aujourd'hui à chaque fois que l'on m'attaque, que l'on me juge, c'est positif pour moi, cela me permet de continuer, d' augmenter l'acuité de ma connaissance de soi.
C'est tout simplement automatique, avant je n'avais pas complétement conscience que l'attaque, le jugement d'une personne à mon égard était tout simplement erroné puisque, l'attaquant fait avec ce qu'il possède, il n'a pas souvent conscience que ce qu'il reproche a l'autre est une part non résolue en lui, qu'il ne définit pas la personne qu'il juge, qu'il définit qui il est.
Il y a un paradoxe dans la connaissance de soi, car on s'imagine la connaissance de soi comme une leçon d'école, avec une borne, une fin bien définie, or le soi évolue en permanence, chaque jour nous apporte du nouveau, une nouvelle partie à connaître, apprendre :-)
L'idéal semble être d'apprendre à apprendre.
Je considère l'acceptation au même titre que la patience, comme vertueuse, cela implique une augmentation, une acuité au fil des années, celle ci est d'abord difficile et perçu comme négative par manque de connaissance de soi, aujourd'hui à chaque fois que l'on m'attaque, que l'on me juge, c'est positif pour moi, cela me permet de continuer, d' augmenter l'acuité de ma connaissance de soi.
C'est tout simplement automatique, avant je n'avais pas complétement conscience que l'attaque, le jugement d'une personne à mon égard était tout simplement erroné puisque, l'attaquant fait avec ce qu'il possède, il n'a pas souvent conscience que ce qu'il reproche a l'autre est une part non résolue en lui, qu'il ne définit pas la personne qu'il juge, qu'il définit qui il est.
Il y a un paradoxe dans la connaissance de soi, car on s'imagine la connaissance de soi comme une leçon d'école, avec une borne, une fin bien définie, or le soi évolue en permanence, chaque jour nous apporte du nouveau, une nouvelle partie à connaître, apprendre :-)
L'idéal semble être d'apprendre à apprendre.
lundi 23 janvier 2017
Dégringoler pour escalader
C'est lorsqu'on
est tombé tout au fond du trou qu'on lève les yeux pour la première
fois et qu'on aperçois enfin la montagne, cette montagne qui a toujours
été là et que l'on a jamais vue, car les yeux rivés sur l'horizon, nos
objectifs, nous avons tourné en rond au pied de celle ci pendant des
années, l'escalade est merveilleuse, pas forcement le sommet, juste
l’ascension, celle ci peut être plus ou moins longue, parfois on glisse
un peu, on recul, sans pour autant perdre l'objectif :-)
Cette réflexion est intiment liée a l'adage qui dit qu'il n'y a pas de chemin vers le bonheur, car le bonheur c'est le chemin.
on peut passer des années a tourner en rond au pied de la montagne en fixant l'horizon, bien droit, puis on tombe au fond d'un énorme trou, pendant la chute on fixe le fond du trou qui se rapproche, une fois au fond, on continue de le fixer, a un moment donné on lève la tête et aperçois pour la première fois le sommet de la montagne
Eric Petit
on peut passer des années a tourner en rond au pied de la montagne en fixant l'horizon, bien droit, puis on tombe au fond d'un énorme trou, pendant la chute on fixe le fond du trou qui se rapproche, une fois au fond, on continue de le fixer, a un moment donné on lève la tête et aperçois pour la première fois le sommet de la montagne
Eric Petit
dimanche 22 janvier 2017
La pensée de la pensée
Au départ, lors de la fécondation, notre pensée n'existe pas, elle se constitue de la même façon qu'une graine qui germe, qui commence a sortir de terre, faire ses premiers rameaux pour devenir un arbre, notre vocabulaire s’enrichit, nos expériences se cumulent, tout cela gravite autour de notre pensée, qui est orchestré par notre petite voix intérieure, celle qui actuellement dicte les mots que j'écris, au fils de cette évolution, de cette enrichissement, on découvre un panel de plus en plus grand de tonalités de voix, de fréquences, par exemple, une tonalité de colère et aussi un rythme ou une tonalité et un rythme d'amour.
Je pense que les personnes érudites, sages, éveillées, ont très tôt, identifié la tonalité, le rythme et la fréquence de l'observation issue de cette petite voix intérieur, pour ensuite, s'habituer, s'entrainer à garder cette tonalité en permanence et construire une deuxième petite voix intérieur en parallèle, pas celle d'une autre personne ou entité, la sienne; cette petite voix prend alors le rôle d'observer la petite voix intérieure qui est utilisée au quotidien, qui elle, au fil des années sait se débrouiller toute seule.
C'est à ce moment là que la phrase "connais toi toi même" prends tout son sens et que l'introspection devient réellement efficace contrairement a une personne ayant une seule petite voix intérieure constamment influencée par l'ego.
L'observation me semble être la clef.
Je pense que les personnes érudites, sages, éveillées, ont très tôt, identifié la tonalité, le rythme et la fréquence de l'observation issue de cette petite voix intérieur, pour ensuite, s'habituer, s'entrainer à garder cette tonalité en permanence et construire une deuxième petite voix intérieur en parallèle, pas celle d'une autre personne ou entité, la sienne; cette petite voix prend alors le rôle d'observer la petite voix intérieure qui est utilisée au quotidien, qui elle, au fil des années sait se débrouiller toute seule.
C'est à ce moment là que la phrase "connais toi toi même" prends tout son sens et que l'introspection devient réellement efficace contrairement a une personne ayant une seule petite voix intérieure constamment influencée par l'ego.
L'observation me semble être la clef.
Eric Petit
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